
De l’algorithme à la toile
Originaire du Havre (1953), son enfance révèle une sensibilité artistique précoce, malgré un environnement familial où la création n’a pas sa place. Doté d’un tempérament observateur et méthodique, il cultive en secret une passion pour le dessin et la construction, pressentant déjà que son chemin sera celui de la création.
Diplômé en sciences et immergé sans s’y attendre dans l’univers du numérique, il construit une carrière en marketing et consulting, mais l’appel de l’art reste tenace. Un déclic le pousse à rompre avec les codes établis : il troque les algorithmes pour les pinceaux, suivant une formation artistique qui scelle sa reconversion. En 2002, il affirme son style et s’impose sur la scène artistique, salué par des prix et une reconnaissance croissante.

Une mutation réfléchie
Son engagement prend une nouvelle dimension en 2015, lorsqu’il adhère au Neutral-Ism, mouvement fondé par Francesco Perilli. Cette approche, qui célèbre la coexistence des contradictions culturelles, devient le socle de sa démarche. Aujourd’hui, ses œuvres voyagent entre la France, l’Italie, l’Espagne, la Chine… portées par une vision où technique et émotion se répondent.
Artiste à part entière, il transforme son héritage professionnel en atout, créant un pont entre rigueur analytique et liberté créative. Son travail interroge les fractures contemporaines, tout en proposant une synthèse audacieuse des oppositions. Une trajectoire où chaque étape, même la plus inattendue, nourrit son art.
Une quête d'équilibre
Artiste à part entière, il transforme son héritage professionnel en atout, créant un pont entre rigueur analytique et liberté créative. Son travail interroge les fractures contemporaines, tout en proposant une synthèse audacieuse des oppositions. Une trajectoire où chaque étape, même la plus inattendue, nourrit son art.
Collaborations

Neutral-Ism est un mouvement artistique multiculturel, naturellement éclectique destiné à rassembler la gamme la plus large de tendances, même celles qui sont à priori opposées, mais pas pour autant irréconciliables. Il exprime le malaise et souligne l’inquiétude créée par l’incompréhension contemporaine et les milliers de divergences qui naissent de la coexistence des cultures différentes. Il est fondé sur la présence vitale des différences.

Origine
1835 : A Nantes une association voit le jour dans la perspective d'acquérir des tableaux, d'exposer une fois I'an les artistes membres de la société ainsi que des artistes invités : l'Association des Amis de I'Art Liée de près aux événements industriels et avec I'aide de la municipalité dans le but de propager le goût des arts et d'en favoriser le développement par une exposition annuelle et publique la Société des Amis des Arts est fondée en 1890.
Naissance
Parallèlement aux galeries actives et après la création d'une école des Beaux Arts et d'un Musée en avril 1900 les expositions se succèdent. 1911 y voit Piet Mondrian exposer. En novembre 1927 dans les salons des Magasins Decré rue de Briord 500 toiles sont réunies. L'Association agréé en 1938 par le ministère de l'éducation Nationale et fondée par Gaston Diehl sous le doux vocable du mouvement de Propagande et de Culture Artistique - le terme Communication n'ayant pas encore vu le jour - est représentée à Nantes des 1944 par H Leray qui fait alterner conférences , débats et expositions .
Les biennales
En 1971 les Amis de l'Art reprennent cette activité en organisant des biennales Bretagne rencontres d’Octobre. Ce n'est finalement qu'à partir de 1984 au Parc des Expositions de la Beaujoire qui restera pendant trols décennies avec la ville de Nantes le partenaire privilégié de l'association au rythme de 2 expositions annuelles que se constituera l'image alliant diversité et création de l'Association des Amis de l’Art, sous la présidence d'Enrico Cocquio avec le dynamisrne des artistes Dabin, Dauce, Legoinvec .
Richesse des expositions
Dans ce cadre auront été réalisées parallèlement à la présentation de pelntres ou de sculpteurs locaux et régionaux, des expositions internationales de Gravures et de Lithographies, de Naifs, Verre et Tapisserie. En 2013 la présidence de Bruno Cocquio verra avec nos oeuvres, dans les bassins aujourd'hui disparus et les jardins, la fin du partenariat avec le Parc de la Beaujoire où auront été présentés à un public populaire, plus de 1300 artistes et plasticiens .

Art Bird est un groupe libre d’artistes. Il trouve son origine à Javea (Xàbia) (province d’Alicante, Espagne), il y ancre ses racines. André E. Lambert et Fuensanta Niñirola, artistes eux-même, organisateurs du groupe, ont imaginé de réunir des artistes rencontrés sur les réseaux. Leur présence physique et celle de leurs oeuvres ont été rassemblées dans le cadre de deux expositions internationales en 2017 et en 2019, à La Casa del Cable, Xàbia.
Créations abstraites, figuratives, géométriques, conceptuelles. Lignes, taches, plans, proportions, harmonies, structures... Des évocations qui transforment une réalité apparente, griffant la matière, composant des équilibres et des déséquilibres, dans l’ordre ou le chaos, des dé-constructions, des ruptures, des frontières fragiles, des voyages imaginaires, des espaces fantastiques. Un langage singulier qui transcende en émotion visible. Une expression de liberté où le spectateur est invité à une contemplation active.

L’ADAGP a été fondée par des artistes dont le projet était de renforcer les liens forgés lors d’évènements professionnels et artistiques communs. Dès les débuts, de grands noms rejoignent le projet : Georges Braque, Bernard Buffet, Alexander Calder, Marc Chagall, le mouvement Cobra, Salvador Dalí, Léonard Foujita, Henri Laurens, Pierre Soulages, Joan Miró, Zao Wou-Ki, Jacques Villon…
La mission principale de l’ADAGP est de percevoir et de répartir les droits d’auteur de ses adhérents.
L’ADAGP intervient auprès des pouvoirs publics et des institutions, en France et à l’étranger, afin de défendre le droit d'auteur, et elle informe les artistes sur leurs droits.